CAILLOU's RP
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CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 11:38
La manipulation vue par Caillou
Il était assis à la terrasse d’un bar chic du centre ville, son regard
parcourant les gens qui l’entouraient. Une expression sinistre sur le visage,
il scrutait, scrutait sans relâche à la recherche de la perle rare. Il lissa sa
serviette de table, se passa la main sur sa boule de bille et recentra son
assiette au milieu de son set de table. L’homme prit son couteau, le contempla
sous toutes ses coutures, un métal mal travaillé, quelques rayures en travers
de la lame lui faisait perdre son charme et, pire que tout, le couteau n’était
pas assez affûté. Pourquoi lui présenter un objet si mal soigné et de mauvaise
qualité, les serveurs se payaient-ils sa tête ?
Agacé il se permit de soupirer, il consulta ensuite sa
montre lui indiquant que son rendez-vous avait déjà une minute et vingt-neuf
secondes de retard. L’homme détestait les gens en retard, dénotant souvent d’un
manque d’organisation et être organisé était extrêmement important à ses yeux.
Et si elle ne venait pas ?
Comment ferait-il ? Commençant à jouer nerveusement avec
son couteau il reporta son attention sur la foule qui l’entourait,
majoritairement des cadres, la moitié portait des smokings, mal repassé a
première vue, l’autre moitié des tenues qu’ils prétendaient « branchées ». Il
devait lui-même s’avouer qu’il n’était vraiment pas repoussant, bien au
contraire, c’était pour cela qu’il réussissait toujours à attirer les femmes.
Un costume de bonne coupe accompagnée par une chemise assortie, une cravate
nouée à la Windsor, l'homme avait horreur des gens négligents et banals qui se
contentaient d’un nœud de cravate simple. S’apprêtant à maudire une nouvelle
fois le crétinisme congénital de la plupart des gens qui l’entourait, il fut
tiré de sa profonde réflexion intérieure par une petite voix fluette :
- « Excusez moi, vous êtes monsieur …? »
[i]Il se retourna, la dévisagea, elle était parfaite, sublime, un subtil
mélange de timidité et un petit côté insoumis, voilà enfin quelqu’un qui valait
la peine. Il resta figé quelques instants devant la perfection, déglutit et lui
répondit d’un ton assuré, un sourire charmeur sur le visage :
- « Tout a fait très chère, vous devez être mademoiselle…
- Appelez moi simplement Steph, la « mademoiselle » est
beaucoup trop formel à mon goût.
Caillou la laissa parler, de tout et de rien, de ce
qu’elle faisait dans la vie, ses passions et ses hobbys, lui préférait
l’écouter même si de temps à autre il était obligé de parler de lui pour ne pas
paraître désintéressé. C’était pourtant tout le contraire, il fantasmait déjà
et se voyait déjà passer à l’acte avec cette femme. Quel délice. Sa silhouette
légère, ses formes avantageuses, son petit visage. Caillou s’attarda un instant
sur son visage , un menton parfaitement dessiné , une bouche fine et des dents
d’une blancheur immaculée, un nez en trompette, deux jolie pommette légèrement
rougeâtre , des yeux en amande vert émeraude, enfin une coiffure stylisée
pour ajouter une touche de grâce à ce beau visage, avec une légère pointe de
timidité. L’homme soupira, il s’imaginait déjà parcourir son corps avec ardeur,
chaque centimètre carré de sa peau. Un plaisir royal.
- « Vous m’écoutez Caillou ? demanda à un moment celle qui monopolisait
ses pensées.
- Oui tout à fait, j’étais en train de constater à quel
point vos yeux sont d’un éclat ! »
Elle rougit à cette phrase. Il ne put s’empêcher d’en
rire intérieurement, il avait l’impression de voir la réaction d’une jeune
jouvencelle de quinze ans. Au fur et à mesure qu’elle parlait, l’impatience le
gagnait, il devait à tout prix satisfaire sa pulsion avec cette femme. Il
inspira profondément, en règle générale il était patient, très patient, mais là
il ne tenait plus.
- « Et si nous allions marcher ?
- Bonne idée ! Vous aimez la marche aussi ?
- J’adore. » assura caillou.
En bon gentleman sans arrière pensée, il paya les
quelques verres, pour tout dire c’était surtout la jeune demoiselle qui avait
bu et il s’en félicitait. Il trouvait cela trop facile, comme d’habitude.
Tout se passait comme prévu, aucun élément ne jouait
contre lui, il était maître de la situation.
Caillou savait que la partie la plus dure de son travail
de séduction commençait, il devait la séduire pour ensuite lui soumettre l’idée
d’un dernier verre. Il lança alors une discussion sur l’actualité people en
espérant qu’elle était le genre de femme qui s’y intéressait, comme prévu, il
fit mouche. D’un air compréhensif, il prêta oreille attentive à la situation
actuelle du couple qui faisait la une des magazines et après quelques anecdotes,
il en vint à lui demander ce qu’elle pensait d’un couple, si elle avait des
projets d’avenir, des enfants, un animal de compagnie peut-être. Encore une
fois, il se félicitait de son omniscience, il avait su captiver la femme, il
n’avait plus qu’à employer le mot « destin » à bon escient pour être quasiment
sûr de passer une soirée plus qu’agréable. Passant au tutoiement il lui demanda
alors :
- « Dit moi Steph, crois-tu au coup de foudre ? Je ne peux croire que
notre rencontre soit fortuite, c’est certainement le destin.
C’est lorsqu’elle lui avoua qu’elle ressentait aussi quelque chose de
particulier en sa présence que Caillou se permit un large sourire, sa soirée
était garantie ! Lorsqu’elle l’embrassa, il eut un avant goût de la douceur de
sa peau. Décidément, il était trop brillant, il avait encore séduit une femme
et ce d’une facilité déconcertante.
Ils furent toutefois dérangés par quelques gouttes de
pluies annonciatrices d’un orage plus qu’imminent, toujours en parfait
gentleman, il proposa à sa nouvelle conquête d’aller chez lui, ils prendraient
alors une petite collation en attendant la fin des intempéries.
Acceptant en souriant, la jeune insouciante le remercia
de le lui proposer, elle-même habitant assez loin, elle n’aurait pas apprécié finir
trempée.
Gagner le lieu de résidence de Caillou fut assez rapide,
en effet, comme il l’avait prévu la femme accepterait de venir chez lui, il
s’était donc arranger pour qu’ils se promènent non loin de chez lui. Après un
commentaire mélioratif sur la beauté de la maison, Steph entra dans celle-ci
suivie de près par le Gentleman. Il lui déclara alors :
- « Vas donc t’asseoir dans le salon, première porte à droite, je vais
à la cuisine nous chercher quelque chose à boire. »
- « Ok, ne soit pas trop long.» lui répondit-elle avec un
clin d’œil coquin.
Après avoir attendu qu’elle gagne le salon, il ferma sa
maison à clé. La prudence étant de mise, rien n’entraverait son plan déjà
grandement entamé. Il se dirigea vers la cuisine, serein, ouvrit la porte avec
enthousiasme, alla chercher une bouteille de vin et deux verres. Son regard
s’attarda sur son couteau fétiche, il l’attendait sur le plan de travail,
extatique il le glissa dans sa poche droite. Après avoir placé le vin et deux
verres sur un plateau il s’empressa de se rendre au salon, à l’approche de
l’instant tant attendu il devenait nerveux, presque négligent, il en avait
presque oublié son sourire charmeur en franchissant la porte.
Elle était là, assise sur le canapé, contemplant ses
bibelots exposés de part et d’autres de la pièce, quand elle le vit avec une
bouteille de vin elle lui fit un petit sourire, il s’approcha, lui tendit
galamment un verre.
Il versa le contenu dans le verre rapidement, trop
rapidement à son goût, il ne devait surtout pas perdre son calme et se
contrôler, il n’était pas encore temps de passer à l’acte. Il se servit
lui-même un verre et trinqua avec Stéphanie, celle-ci en eut vite terminé avec
son verre. Elle se pencha devant lui afin de lui offrir un parfait aperçu son
formidable décolleté, mais s'en fut trop pour Lui, qui décida de passer à
l’action. Il la prit dans ses bras et commença à explorer son corps à l’aide de
sa main gauche, sa main droite elle se dirigea vers sa poche, lentement,
sûrement, précautionneusement.
Pendant que Steph gémissait et murmurait son nom, Caillou
eut un rictus et sorti enfin le couteau de sa poche, la jeune femme qui avait
gardé les paupières mi-closes n’avait rien remarqué. C’est seulement lorsque la
lame mordit sa chair une première fois qu’elle ouvrit les yeux, hurlant tout
d'abord de surprise, puis de douleur. Il la poignarda encore une fois, il
prenait son pied, mais il n’allait pas la tuer de suite, il aimait les entendre
crier et se débattre, flasques et inoffensives elles n’avaient aucun intérêt.
[i]1, 2, 3, 4, …, 106, 107, 108 …
Il la lacérait avec sa lame, le buste, le visage, il
parcourait inlassablement chaque centimètre de sa peau. Encore et toujours, il
transformait cette peau blanche et délicate en un torrent rougeoyant. L’homme
jubilait, tout était parfait, seul bémol, la femme était morte après son
vingt-cinquième coup de couteau, il n’en avait cure. La jeune femme n’était maintenant plus qu’un amas de chair
sanguinolent. Il porta un ultime coup de couteau dans l’œil, sentir le globe
oculaire se fendre sous son coup était un de ses petits plaisirs, il essuya sa
lame sur ce qu’il restait des vêtements de la demoiselle. Précautionneusement,
il sorti un mouchoir de sa poche pour lustrer un peu mieux sa lame, il embrassa
son couteau et le remercia une nouvelle fois de lui procurer autant de plaisir.
Caillou se leva,se passa la main sur sa boule
de bille toujours aussi lisse, regarda le
cadavre qui désormais n’avait plus rien d’humain, sans l’ombre d’un remord il
éclata de rire. Un rire démentiel, il se fichait désormais éperdument de la
femme qu’il avait tuée, son attention était déjà portée sur sa prochaine
victime. Puisse-t-elle lui apporter autant de plaisir.
Il était assis à la terrasse d’un bar chic du centre ville, son regard
parcourant les gens qui l’entouraient. Une expression sinistre sur le visage,
il scrutait, scrutait sans relâche à la recherche de la perle rare. Il lissa sa
serviette de table, se passa la main sur sa boule de bille et recentra son
assiette au milieu de son set de table. L’homme prit son couteau, le contempla
sous toutes ses coutures, un métal mal travaillé, quelques rayures en travers
de la lame lui faisait perdre son charme et, pire que tout, le couteau n’était
pas assez affûté. Pourquoi lui présenter un objet si mal soigné et de mauvaise
qualité, les serveurs se payaient-ils sa tête ?
Agacé il se permit de soupirer, il consulta ensuite sa
montre lui indiquant que son rendez-vous avait déjà une minute et vingt-neuf
secondes de retard. L’homme détestait les gens en retard, dénotant souvent d’un
manque d’organisation et être organisé était extrêmement important à ses yeux.
Et si elle ne venait pas ?
Comment ferait-il ? Commençant à jouer nerveusement avec
son couteau il reporta son attention sur la foule qui l’entourait,
majoritairement des cadres, la moitié portait des smokings, mal repassé a
première vue, l’autre moitié des tenues qu’ils prétendaient « branchées ». Il
devait lui-même s’avouer qu’il n’était vraiment pas repoussant, bien au
contraire, c’était pour cela qu’il réussissait toujours à attirer les femmes.
Un costume de bonne coupe accompagnée par une chemise assortie, une cravate
nouée à la Windsor, l'homme avait horreur des gens négligents et banals qui se
contentaient d’un nœud de cravate simple. S’apprêtant à maudire une nouvelle
fois le crétinisme congénital de la plupart des gens qui l’entourait, il fut
tiré de sa profonde réflexion intérieure par une petite voix fluette :
- « Excusez moi, vous êtes monsieur …? »
[i]Il se retourna, la dévisagea, elle était parfaite, sublime, un subtil
mélange de timidité et un petit côté insoumis, voilà enfin quelqu’un qui valait
la peine. Il resta figé quelques instants devant la perfection, déglutit et lui
répondit d’un ton assuré, un sourire charmeur sur le visage :
- « Tout a fait très chère, vous devez être mademoiselle…
- Appelez moi simplement Steph, la « mademoiselle » est
beaucoup trop formel à mon goût.
Caillou la laissa parler, de tout et de rien, de ce
qu’elle faisait dans la vie, ses passions et ses hobbys, lui préférait
l’écouter même si de temps à autre il était obligé de parler de lui pour ne pas
paraître désintéressé. C’était pourtant tout le contraire, il fantasmait déjà
et se voyait déjà passer à l’acte avec cette femme. Quel délice. Sa silhouette
légère, ses formes avantageuses, son petit visage. Caillou s’attarda un instant
sur son visage , un menton parfaitement dessiné , une bouche fine et des dents
d’une blancheur immaculée, un nez en trompette, deux jolie pommette légèrement
rougeâtre , des yeux en amande vert émeraude, enfin une coiffure stylisée
pour ajouter une touche de grâce à ce beau visage, avec une légère pointe de
timidité. L’homme soupira, il s’imaginait déjà parcourir son corps avec ardeur,
chaque centimètre carré de sa peau. Un plaisir royal.
- « Vous m’écoutez Caillou ? demanda à un moment celle qui monopolisait
ses pensées.
- Oui tout à fait, j’étais en train de constater à quel
point vos yeux sont d’un éclat ! »
Elle rougit à cette phrase. Il ne put s’empêcher d’en
rire intérieurement, il avait l’impression de voir la réaction d’une jeune
jouvencelle de quinze ans. Au fur et à mesure qu’elle parlait, l’impatience le
gagnait, il devait à tout prix satisfaire sa pulsion avec cette femme. Il
inspira profondément, en règle générale il était patient, très patient, mais là
il ne tenait plus.
- « Et si nous allions marcher ?
- Bonne idée ! Vous aimez la marche aussi ?
- J’adore. » assura caillou.
En bon gentleman sans arrière pensée, il paya les
quelques verres, pour tout dire c’était surtout la jeune demoiselle qui avait
bu et il s’en félicitait. Il trouvait cela trop facile, comme d’habitude.
Tout se passait comme prévu, aucun élément ne jouait
contre lui, il était maître de la situation.
Caillou savait que la partie la plus dure de son travail
de séduction commençait, il devait la séduire pour ensuite lui soumettre l’idée
d’un dernier verre. Il lança alors une discussion sur l’actualité people en
espérant qu’elle était le genre de femme qui s’y intéressait, comme prévu, il
fit mouche. D’un air compréhensif, il prêta oreille attentive à la situation
actuelle du couple qui faisait la une des magazines et après quelques anecdotes,
il en vint à lui demander ce qu’elle pensait d’un couple, si elle avait des
projets d’avenir, des enfants, un animal de compagnie peut-être. Encore une
fois, il se félicitait de son omniscience, il avait su captiver la femme, il
n’avait plus qu’à employer le mot « destin » à bon escient pour être quasiment
sûr de passer une soirée plus qu’agréable. Passant au tutoiement il lui demanda
alors :
- « Dit moi Steph, crois-tu au coup de foudre ? Je ne peux croire que
notre rencontre soit fortuite, c’est certainement le destin.
C’est lorsqu’elle lui avoua qu’elle ressentait aussi quelque chose de
particulier en sa présence que Caillou se permit un large sourire, sa soirée
était garantie ! Lorsqu’elle l’embrassa, il eut un avant goût de la douceur de
sa peau. Décidément, il était trop brillant, il avait encore séduit une femme
et ce d’une facilité déconcertante.
Ils furent toutefois dérangés par quelques gouttes de
pluies annonciatrices d’un orage plus qu’imminent, toujours en parfait
gentleman, il proposa à sa nouvelle conquête d’aller chez lui, ils prendraient
alors une petite collation en attendant la fin des intempéries.
Acceptant en souriant, la jeune insouciante le remercia
de le lui proposer, elle-même habitant assez loin, elle n’aurait pas apprécié finir
trempée.
Gagner le lieu de résidence de Caillou fut assez rapide,
en effet, comme il l’avait prévu la femme accepterait de venir chez lui, il
s’était donc arranger pour qu’ils se promènent non loin de chez lui. Après un
commentaire mélioratif sur la beauté de la maison, Steph entra dans celle-ci
suivie de près par le Gentleman. Il lui déclara alors :
- « Vas donc t’asseoir dans le salon, première porte à droite, je vais
à la cuisine nous chercher quelque chose à boire. »
- « Ok, ne soit pas trop long.» lui répondit-elle avec un
clin d’œil coquin.
Après avoir attendu qu’elle gagne le salon, il ferma sa
maison à clé. La prudence étant de mise, rien n’entraverait son plan déjà
grandement entamé. Il se dirigea vers la cuisine, serein, ouvrit la porte avec
enthousiasme, alla chercher une bouteille de vin et deux verres. Son regard
s’attarda sur son couteau fétiche, il l’attendait sur le plan de travail,
extatique il le glissa dans sa poche droite. Après avoir placé le vin et deux
verres sur un plateau il s’empressa de se rendre au salon, à l’approche de
l’instant tant attendu il devenait nerveux, presque négligent, il en avait
presque oublié son sourire charmeur en franchissant la porte.
Elle était là, assise sur le canapé, contemplant ses
bibelots exposés de part et d’autres de la pièce, quand elle le vit avec une
bouteille de vin elle lui fit un petit sourire, il s’approcha, lui tendit
galamment un verre.
Il versa le contenu dans le verre rapidement, trop
rapidement à son goût, il ne devait surtout pas perdre son calme et se
contrôler, il n’était pas encore temps de passer à l’acte. Il se servit
lui-même un verre et trinqua avec Stéphanie, celle-ci en eut vite terminé avec
son verre. Elle se pencha devant lui afin de lui offrir un parfait aperçu son
formidable décolleté, mais s'en fut trop pour Lui, qui décida de passer à
l’action. Il la prit dans ses bras et commença à explorer son corps à l’aide de
sa main gauche, sa main droite elle se dirigea vers sa poche, lentement,
sûrement, précautionneusement.
Pendant que Steph gémissait et murmurait son nom, Caillou
eut un rictus et sorti enfin le couteau de sa poche, la jeune femme qui avait
gardé les paupières mi-closes n’avait rien remarqué. C’est seulement lorsque la
lame mordit sa chair une première fois qu’elle ouvrit les yeux, hurlant tout
d'abord de surprise, puis de douleur. Il la poignarda encore une fois, il
prenait son pied, mais il n’allait pas la tuer de suite, il aimait les entendre
crier et se débattre, flasques et inoffensives elles n’avaient aucun intérêt.
[i]1, 2, 3, 4, …, 106, 107, 108 …
Il la lacérait avec sa lame, le buste, le visage, il
parcourait inlassablement chaque centimètre de sa peau. Encore et toujours, il
transformait cette peau blanche et délicate en un torrent rougeoyant. L’homme
jubilait, tout était parfait, seul bémol, la femme était morte après son
vingt-cinquième coup de couteau, il n’en avait cure. La jeune femme n’était maintenant plus qu’un amas de chair
sanguinolent. Il porta un ultime coup de couteau dans l’œil, sentir le globe
oculaire se fendre sous son coup était un de ses petits plaisirs, il essuya sa
lame sur ce qu’il restait des vêtements de la demoiselle. Précautionneusement,
il sorti un mouchoir de sa poche pour lustrer un peu mieux sa lame, il embrassa
son couteau et le remercia une nouvelle fois de lui procurer autant de plaisir.
Caillou se leva,se passa la main sur sa boule
de bille toujours aussi lisse, regarda le
cadavre qui désormais n’avait plus rien d’humain, sans l’ombre d’un remord il
éclata de rire. Un rire démentiel, il se fichait désormais éperdument de la
femme qu’il avait tuée, son attention était déjà portée sur sa prochaine
victime. Puisse-t-elle lui apporter autant de plaisir.
caillou- Messages : 174
Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 33
Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 12:15
Un rêve, une envie
Un vent de tachyons balayait l'espace. Des fragments de météores, nés d'une collision cosmique mille millions d'années plus tôt, naviguaient sans but dans le vide sidéral. Les rais de lumière d'une galaxie distante dessinaient des ombres sur leurs écorchures. Dans ce règne du froid et du silence, les univers passent, trépassent, éphémères distractions d'une ancienne légende, d'un spectre oublié. Une forme éthérée, immortelle, et mourant malgré tout de l'absence totale de chaleur, de passion... s'évanouissant de nostalgie et d'ennui.
L'écho de soupirs tristes retentit de l'autre côté du monde.
Seule dans son lit, dans ses draps roses froissés... Une ex-impératrice , Furry-one, cherchait en vain le sommeil. Encore une journée inutile, ou était-ce une nuit...difficile d’y voir clair avec tout ce divin vin englouti. Une énième orgie de chocolat, de mâles asservis, de mets improbables et de mélodies extatiques. Tant de gourmandises à se mettre sous la dent, et si peu, si peu de frissons...
Un léger clignotement vert pomme au plafond, entre la fontaine à chocolat (juste au-dessus de sa poitrine, comme il est de bon ton) et le miroir amaigrissant, signala un message de Némésis, son indécrottable second, son homme à tout faire, sauf l'amour. Mieux valait pour lui qu'il soit aussi peu désirable qu'une boîte de Petit Louis périmés: Furry l'aurait essoré et mis au rebut depuis bien longtemps. Némésis avait survécu à toutes les crises, à toutes les folies, et s'échinait toujours à lui transmettre du divertissement plus juteux les uns que les autres pour tenter de la sortir de la déprime et de son ennuie. Mais Furry-one n'avait plus soif, même de ce jus...
L'écho de soupirs la passa de l'autre côté du monde.
Réanimé par une étrange sensation de courant d’air , un nuage de poussière supra-luminique tournoyant lentement, silencieusement, s'illumina sous l'effet d'un courant glacé, magnétique. Combien d'espace-temps avait-t-elle traversés depuis son dernier éveil ? Le chapelet de débris se zébra d'une lueur indigo, diffuse, persistante. Quel froid si différemment glacé de celui de l'espace avait pu stopper sa course sans fin ? Intéressée... attirée... aimantée... la force oubliée abandonna rapidement son état de photons, cessa de briller pour voyager à nouveau, mais guidée par l'appel de souffles répétés.
Un vent de soupirs intrigués s'évanouit de l'autre côté du monde.
Assise au bord du lit, les yeux dans le vague, Furry-one rêvassait, indolente. Ses mains caressèrent le satin de ses cuisses comme pour s'assurer de leur douceur; elle tenta de focaliser son esprit sur la musique lancinante diffusée dans la pièce, n'entendit qu'un bruissement indistinct, un appel lointain... non, pas si lointain...?
L'ex-impératrice leva le regard vers le Monet au-dessus de la commode.
Hmmm encore trop bu...
Elle haussa les épaules, se frotta les yeux pour dissiper le brouillard; regarda à nouveau... C'était pire.
- Heu ? C'est quoi ce...?
Intriguée, elle se leva pour s'approcher. On ne le dira jamais assez: se précipiter vers le danger nue comme un ver est une des activités favorites de Furry. Le drap à ses pieds, elle fit deux pas en avant et tendit la main pour effleurer le nuage de particules...
Portée par le désir la créature au particule s'arrêta, enfin. Un voyant vert clignotait, royalement ignoré par l'occupante des lieux. Elle le remarqua, mais n'y fit étonnamment pas attention... D'abord brouillard grisâtre puis scintillant de violet elle examina la femme nue face à elle.
Jolie. Blonde, mais vraiment jolie... Quel est ton nom ma belle ?
Concentrant sa force à la recherche de l'information, elle se tourna à nouveau vers le voyant. Quelques fractions de secondes... Deux lettres l'arrêtèrent net dans le flot d'informations. Elle vacilla, sentit son image se reformer, puis disparaître à nouveau en découvrant la troisième lettre. Encore sous le choc, elle tenta de prononcer ce nom, dirigeant son souffle pour caresser le cou de sa découverte.
- Fur..Ry..o.n.e
La bouche formant un "o" muet, Furry plongea son regard dans la brume qui s'épaississait, prenait forme; elle crut un instant y reconnaître la silhouette d'un tigre... d'une panthère ? Non, les traits se décomposèrent aussitôt.
- Fur...ry
Un souffle d'air parcourut la présence éthérée. De nouvelles formes apparurent, semblant émerger péniblement d'une prison immatérielle. Une main tendue, oui... Un nez, des lèvres entrouvertes... Plus bas, les courbes généreuses d'une poitrine, un autre bras tendu vers l'avant...
Saisie de frissons, Furry offrit sa main à la créature, lentement, plus par révérence que par timidité. Le contact était frais, mais infiniment plus chaud que le froid glacial qu'elle était persuadée de trouver sur cette peau si claire.
Une jambe surgit, puis une autre. Les dernières volutes de fumée s'effilochèrent en tourbillonnant, s'entortillèrent dans les boucles de sa chevelure de jais. Une femme, humaine, assurément, et d'une beauté improbable. Les dernières touches de son corps à se révéler furent ses yeux; le brouillard n'y étant pour rien cette fois: ils étaient clos.
Et lorsqu'ils s'ouvrirent enfin, vives aigues-marines rivées sur elle, Furry-one sentit son cœur manquer un battement, puis deux. La main dans la sienne se referma sur ses doigts.
La chaleur se dégageant de furry avait véritablement émoustillé le fantôme. Quelques instants avant, elle avait voulu toucher de son souffle la paume de la jeune femme, en réalité, c'est de sa main qu'elle la caressait. Ses yeux brillants dévoraient la gorge immobile de furry, la pulpe de ses doigts explorait attentivement le creux de sa main gauche puis remonta le long de son délicieux poignet. Délice, oui, c'était précisément ce qu'elle ressentait en suivant religieusement la chaleur sanguine pulsant violemment sous ses doigts, la guidant rapidement jusqu'à sa clavicule. Baissant ses yeux et sa main droite sur le sein offert, elle sentit sa force, féline, refaire surface et l'envahir quelques instants, reprendre vie en elle... Vibrait-elle à nouveau en puisant à la source vivante de l'ex-imperatrice ? Elle frémit, leva son regard pour plonger à son tour dans celui de la souveraine, approcha sa main gauche pour caresser ses lèvres, ferma les yeux, soupira.
Merci...
Lui sourit. La regarda intensément.
Le cœur chaviré, les sens surexcités, Furry ferma les yeux et s'abandonna aux caresses tâtonnantes mais décidées de son invitée. Sa lèvre inférieure se relâcha sous la caresse d'un index; celui-ci s'engouffra dans la brèche, toucha le bout de sa langue. Sa respiration s'accéléra. Une main se referma sur son sein, experte, déjà familière. Rompue à la domination, étrangère à la perte de contrôle, Furry tremblait, muette de ravissement, et sentit un ancien et profond désir la submerger, la soulever, l'élancer vers sa brune compagne.
Mords-moi !
Parcourue d'un violent frisson, FUrry referma ses dents sur le doigt s'aventurant dans sa bouche, rouvrit les yeux, les conjuguant à ceux qui s'offraient à elle. Sa main lui passa dans le dos pour se rapprocher d'elle; leurs corps se touchaient, se frôlaient juste par endroits, caresses précises d'une puissance inouïe allant au gré de leurs souffles. Éveillée, vorace, Furry se mordit la lèvre, puis esquissa un sourire.
Chaleur... Douleur... Plaisir... Crispation... Enivrée de ces mille sensations retrouvées, l'inconnue se mit à ronronner. Son corps ondulait lentement, sensuel, contre celui de la jolie blonde, presque immobile sauf par ses soupirs. Ses ongles appuyés dans son dos, elle dessina de fines rayures rouges sur sa peau, rapprochant délicatement les deux femmes. Soudain saisie par la faim, elle dévora du regard un très court instant la lèvre meurtrie de furry-one puis déplaça sa main dans la chevelure dorée et porta ses lèvres jusqu'aux siennes. Par un baiser elle y déposa toute la douceur et l'énergie qu'elle pensait avoir perdues depuis des siècles en se laissant mourir.
Cherchant à lui transmettre cette force pour combler le vide qui l'avait éveillée et attirée jusqu'à elle, elle chercha dans ses souvenirs l'écho du plaisir, le goût de l'envie... Perdues au milieu du sucre envoûtant de sa bouche, les papilles de la féline jouirent soudainement d'un voluptueux mélange tantôt floral, ou animal... capiteux puis épicé... crémeux ou amère. Tremblante, elle saisit ces fragments de mémoire et les renvoya avec violence à la bouillonnante furry : invitation au voyage, violence d'effluves mexicaines, rituels sensuels et mâtinés... L'érotisme latent du chocolat secoua le corps contre elle.
Alors elle recula, interrompit la valse de leurs langues et découvrit satisfaite : les pupilles dilatées de plaisir, un sourire ravivé, les ongles de furry plantés dans la peau de ses reins.
C'est donc cela, ma belle... Tu ne chasses plus...
S'efforçant de soumettre l'impératrice pour réveiller la volcanique prédatrice, elle reçu en retour les questions impétueuses qui flottaient dans sa tête.
Qui es-tu ? Que veux-tu ?
Elle sourit, la défia en poussant fougueusement les épaules de furry, la fit basculer sur le lit et imposa ses égards à ce corps prisonnier de la terne oisiveté de son esprit. Elle susurra alors quelques mots,
réveille-toi... lève-toi... souviens-toi... bats-toi !
Sa voix emplit peu à peu la pièce. Elle attendait d'être à son tour soumise à la volonté de sa distraction, continuant à la faire frissonner.
Furry retenait son souffle. Le corps sur le sien n'avait plus rien d'éthéré; il allait et venait contre sa peau avec une grâce féline, s'appropriait sa chair. Le frottement de leur peau la consumait; les doigts contre sa faille brûlante lui coupèrent le souffle.
Oh, que...!
Furry-one se cambra pour mieux s'offrir aux caresses. La sublime inconnue se pencha sur son corps arqué pour l'embrasser; ses lèvres dévorèrent celles de furry, tournoyant sa langue un bref instant. Une cascade de baisers humides coula vers une pomme de chair à la maturité parfaite. Là, sa bouche explora, remontant lentement ce tendre fruit, puis s'installa en serrant la pointe entre ses lèvres. Au contact électrique de la langue, furry sentit son ventre se crisper et gémit, soupira, gémit encore...
Elle... Mon envie... Si je..., il me faut... Je l'ai su, je le peux à nouveau...
Le souffle court, elle se dégagea de cette étreinte, s'appuya sur ses genoux tremblants et humides pour se redresser, radieuse de détermination, et faire face à l'inconnue... qui ne l'était déjà plus.
- Merci... A moi de te donner raison.
Posant sa main sur la hanche galbée de sa compagne, furry laissa le désir l'envahir, et la volonté couler à flots dans ses veines. Un grognement lui échappa à l'instant où son corps bascula vers l'avant pour chevaucher celui de la femme-féline...
Le corps rejeté en arrière, les pouces sur le visage de sa compagne, elle ondula au rythme de sa respiration, parcourue de frissons. Sa gorge palpitante offerte en sacrifice consentant, elle fit glisser ses mains plus bas, les referma sur sa poitrine, retint sa respiration, se redressa soudain pour regarder le corps sous elle, et se pencha en avant, très lentement, jusqu'à poser sa bouche dans le cou. Là, haletante, elle retroussa ses lèvres, posa ses dents sur la peau luisante et les planta, tendrement, profondément.
Une première morsure, retenue, presque fragile, puis une seconde juste en-dessous, plus intense, aussitôt suivie de petits coups de langue pour absorber un peu de douleur; prenant goût à cette peau aux arômes de miel et de lait, elle la mordilla à nouveau, tout du long, sa passion vorace dessinant tout un archipel de stigmates du haut de la gorge jusqu'entre les seins.
Comblée par l'appétit foudroyant de furry la jolie brune ferma les yeux, frémit de tout son être. Son genou et son pied droit remontèrent délicatement le long des jambes pliées de sa compagne tandis que ses mains plaquaient leurs corps l'un contre l'autre.
Les vagues de désir se mêlèrent bientôt à d'autres tiraillements; une faim non charnelle, une pulsion destructrice, sombre rapace... Surgissant du passé, elle était revenue. Ses yeux quittèrent un instant le corps lascif de sa partenaire.
Les soupirs changèrent peu à peu de bouche, l'audace de furry grandit et s'exprima autant dans ses caresses que dans son sourire et ses yeux. Relevant impérieusement la femme-fauve, elle la poussa près du mur et la hissa sur l'étagère dorée où elle laissait négligemment traîner tous les outils de ses plaisirs nocturnes. Fixant ses yeux brillants dans les siens, elle fit voler la majeure partie de ces objets pour passer ses doigts entre le mur et la peau humide qu'elle effleura. Sur la pointe des pieds, elle embrassa passionnément chaque centimètre de peau qu'elle put trouver, l'amena peu à peu à poser sa tête contre le velours rouge sombre brodé d'or couvrant la cloison et arrêta sa main gauche sur sa nuque.
Saisissant fermement le cou de sa proie, elle enclencha l'un de ses gadgets favoris avec la main droite. Le bord de l'étagère se détacha du reste, remontant à première vue mystiquement vers le plafond, emportant les genoux délicats... Furry-one plaqua sa poitrine contre les jambes pour l'aider à basculer en douceur. Transportée par le désir, la créature n'opposa pas de résistance et se retrouva rapidement tête en bas, prisonnière, silencieuse... La blonde sourit, caressa un instant la courbe galbée de ses fesses puis joua de ses doigts sur la petite commande du trapèze magnétique pour replacer leur visage face à face et lui sourire.
- Intéressant... astucieux... *Ravageur, même...
- Alors, ma chérie... Vas-tu enfin me dire ton nom ?
- Embrasse-moi.
- Tu n'auras rien de plus de moi sans cette réponse, ma belle.
- Habituée à voir tes caprices s'exaucer, hmm ?
- Non, quand on me dit non je demande davantage. Ton nom, ma chérie, et ta main posée sur moi, juste ici.
La femme posa sa main sur le ventre de l'impératrice et commença à y dessiner les courbes d'une lettre. Du bout de l'index, partant du nombril, elle remonta, forma une boucle allongée, repassa sur le nombril et créa une nouvelle boucle rejoignant le point de départ. Replaçant ensuite son index dans le nombril frémissant de furry, elle caressa son contour puis descendit un peu pour ajouter un petit arc sous le cercle, avant de compléter d'un accent, quelques centimètres au-dessus du joli orifice de naissance. Puis elle descendit sa main sur sa cuisse et caressa en souriant.
- Hum... Io...?
- Oui, cela commence ainsi. Embrasse-moi.
Amusée, Furry approcha ses lèvres du visage de la "Io", déposa un baiser fugace sur sa bouche frissonnante de désir, s'en vint mordiller son oreille gauche, fit le tour jusqu'au lobe qu'elle suçota malicieusement, puis recula et reprit la pose, les poings sur les hanches.
- Eh bien ?
- Je t'espérais plus perspicace...
Remontant sur l'abdomen ferme, elle reprit ses dessins, formant une nouvelle courbe allongée vers le haut, puis enchaina avec le tracé d'un Y. Passant sa main dans le dos de furry, elle l'amena contre elle pour embrasser et goûter délicatement la peau qu'elle venait d'effleurer.
Les yeux clos, concentrée sur l'enivrant murmure de ces doigts merveilleux d'agilité, furry-one soupira, descendit ses mains sous les genoux puis le long des cuisses s'offrant à elle.
La brune soupira sous les caresses, lâcha le bas du dos qu'elle serrait contre elle et replaça ses doigts sur son ventre pour y finir l'écriture de son nom. Elle guettait l'occasion de pouvoir relever quelques instants la tête, le plaisir et l'ivresse du moment ne suffisaient pas à occulter l'étourdissement lancinant qui grandissait peu à peu. Elle accompagna le dernier mouvement de son index par un chuchotement.
- Mon nom était Iota, ma belle. Dame des ténèbres, reine universelle, c'était il y a bien longtemps ...
- Iota... Iota... Cela te va bien, ma chérie. C'est tout ce que j'avais besoin de savoir. Reprenons...
Furry prit dans ses mains la tête couronnée de cheveux bruns, la releva un peu pour l'embrasser à l'envers, passa sa langue sur la lèvre supérieure offerte à elle. Puis elle prit délicatement les mains de sa complice, les posa sur elle, puis promena son index du nombril jusqu'à sa gorge, repoussant doucement sa tête vers le bas. Dominant de toute sa taille le corps renversé de sa partenaire, elle se pencha lentement sur elle et vint goûter à la chaleur des cuisses de Iota......
.....
Un bruit sourd et lourd retenti… un cube holographique sortie du centre de la pièce.
.....
Votre Altesse, votre bain moussant est chaud, vous pourrez le prendre quand bon vous semble. Si vous désirez déguster quelque chose, votre repas est dans la salle de réception. M.yoRat, Terminé.
FUrry contemplât le cube jusqu'à sa disparition avant reprendre ses ébats, mais un froid glacial s’empara d’elle, un nuage de poussière flottait autour d’elle, des frissons lui remontèrent jusqu’à dans la nuque.
Rien, la divine créature avait disparue aussi vite qu’elle n’eut apparut dans cette étrange brume.
Etait-ce un rêve ? Une hallucination dû à l’alcool ? Un fantôme errant dans cet espace infiniment vaste et frigide ?….
Une larme coula lentement le long de sa joue encore humide de sueur, une profonde tristesse envahie l’ex-impératrice. Elle s’allongea avec délicatesse sur le lit, ferma les yeux, avant de s’assoupir, repensant à chaque scène de son aventure mystique, espérant de pouvoir revivre cet étrange phénomène sensationnel un jours...
Un vent de tachyons balayait l'espace. Des fragments de météores, nés d'une collision cosmique mille millions d'années plus tôt, naviguaient sans but dans le vide sidéral. Les rais de lumière d'une galaxie distante dessinaient des ombres sur leurs écorchures. Dans ce règne du froid et du silence, les univers passent, trépassent, éphémères distractions d'une ancienne légende, d'un spectre oublié. Une forme éthérée, immortelle, et mourant malgré tout de l'absence totale de chaleur, de passion... s'évanouissant de nostalgie et d'ennui.
L'écho de soupirs tristes retentit de l'autre côté du monde.
Seule dans son lit, dans ses draps roses froissés... Une ex-impératrice , Furry-one, cherchait en vain le sommeil. Encore une journée inutile, ou était-ce une nuit...difficile d’y voir clair avec tout ce divin vin englouti. Une énième orgie de chocolat, de mâles asservis, de mets improbables et de mélodies extatiques. Tant de gourmandises à se mettre sous la dent, et si peu, si peu de frissons...
Un léger clignotement vert pomme au plafond, entre la fontaine à chocolat (juste au-dessus de sa poitrine, comme il est de bon ton) et le miroir amaigrissant, signala un message de Némésis, son indécrottable second, son homme à tout faire, sauf l'amour. Mieux valait pour lui qu'il soit aussi peu désirable qu'une boîte de Petit Louis périmés: Furry l'aurait essoré et mis au rebut depuis bien longtemps. Némésis avait survécu à toutes les crises, à toutes les folies, et s'échinait toujours à lui transmettre du divertissement plus juteux les uns que les autres pour tenter de la sortir de la déprime et de son ennuie. Mais Furry-one n'avait plus soif, même de ce jus...
L'écho de soupirs la passa de l'autre côté du monde.
Réanimé par une étrange sensation de courant d’air , un nuage de poussière supra-luminique tournoyant lentement, silencieusement, s'illumina sous l'effet d'un courant glacé, magnétique. Combien d'espace-temps avait-t-elle traversés depuis son dernier éveil ? Le chapelet de débris se zébra d'une lueur indigo, diffuse, persistante. Quel froid si différemment glacé de celui de l'espace avait pu stopper sa course sans fin ? Intéressée... attirée... aimantée... la force oubliée abandonna rapidement son état de photons, cessa de briller pour voyager à nouveau, mais guidée par l'appel de souffles répétés.
Un vent de soupirs intrigués s'évanouit de l'autre côté du monde.
Assise au bord du lit, les yeux dans le vague, Furry-one rêvassait, indolente. Ses mains caressèrent le satin de ses cuisses comme pour s'assurer de leur douceur; elle tenta de focaliser son esprit sur la musique lancinante diffusée dans la pièce, n'entendit qu'un bruissement indistinct, un appel lointain... non, pas si lointain...?
L'ex-impératrice leva le regard vers le Monet au-dessus de la commode.
Hmmm encore trop bu...
Elle haussa les épaules, se frotta les yeux pour dissiper le brouillard; regarda à nouveau... C'était pire.
- Heu ? C'est quoi ce...?
Intriguée, elle se leva pour s'approcher. On ne le dira jamais assez: se précipiter vers le danger nue comme un ver est une des activités favorites de Furry. Le drap à ses pieds, elle fit deux pas en avant et tendit la main pour effleurer le nuage de particules...
Portée par le désir la créature au particule s'arrêta, enfin. Un voyant vert clignotait, royalement ignoré par l'occupante des lieux. Elle le remarqua, mais n'y fit étonnamment pas attention... D'abord brouillard grisâtre puis scintillant de violet elle examina la femme nue face à elle.
Jolie. Blonde, mais vraiment jolie... Quel est ton nom ma belle ?
Concentrant sa force à la recherche de l'information, elle se tourna à nouveau vers le voyant. Quelques fractions de secondes... Deux lettres l'arrêtèrent net dans le flot d'informations. Elle vacilla, sentit son image se reformer, puis disparaître à nouveau en découvrant la troisième lettre. Encore sous le choc, elle tenta de prononcer ce nom, dirigeant son souffle pour caresser le cou de sa découverte.
- Fur..Ry..o.n.e
La bouche formant un "o" muet, Furry plongea son regard dans la brume qui s'épaississait, prenait forme; elle crut un instant y reconnaître la silhouette d'un tigre... d'une panthère ? Non, les traits se décomposèrent aussitôt.
- Fur...ry
Un souffle d'air parcourut la présence éthérée. De nouvelles formes apparurent, semblant émerger péniblement d'une prison immatérielle. Une main tendue, oui... Un nez, des lèvres entrouvertes... Plus bas, les courbes généreuses d'une poitrine, un autre bras tendu vers l'avant...
Saisie de frissons, Furry offrit sa main à la créature, lentement, plus par révérence que par timidité. Le contact était frais, mais infiniment plus chaud que le froid glacial qu'elle était persuadée de trouver sur cette peau si claire.
Une jambe surgit, puis une autre. Les dernières volutes de fumée s'effilochèrent en tourbillonnant, s'entortillèrent dans les boucles de sa chevelure de jais. Une femme, humaine, assurément, et d'une beauté improbable. Les dernières touches de son corps à se révéler furent ses yeux; le brouillard n'y étant pour rien cette fois: ils étaient clos.
Et lorsqu'ils s'ouvrirent enfin, vives aigues-marines rivées sur elle, Furry-one sentit son cœur manquer un battement, puis deux. La main dans la sienne se referma sur ses doigts.
La chaleur se dégageant de furry avait véritablement émoustillé le fantôme. Quelques instants avant, elle avait voulu toucher de son souffle la paume de la jeune femme, en réalité, c'est de sa main qu'elle la caressait. Ses yeux brillants dévoraient la gorge immobile de furry, la pulpe de ses doigts explorait attentivement le creux de sa main gauche puis remonta le long de son délicieux poignet. Délice, oui, c'était précisément ce qu'elle ressentait en suivant religieusement la chaleur sanguine pulsant violemment sous ses doigts, la guidant rapidement jusqu'à sa clavicule. Baissant ses yeux et sa main droite sur le sein offert, elle sentit sa force, féline, refaire surface et l'envahir quelques instants, reprendre vie en elle... Vibrait-elle à nouveau en puisant à la source vivante de l'ex-imperatrice ? Elle frémit, leva son regard pour plonger à son tour dans celui de la souveraine, approcha sa main gauche pour caresser ses lèvres, ferma les yeux, soupira.
Merci...
Lui sourit. La regarda intensément.
Le cœur chaviré, les sens surexcités, Furry ferma les yeux et s'abandonna aux caresses tâtonnantes mais décidées de son invitée. Sa lèvre inférieure se relâcha sous la caresse d'un index; celui-ci s'engouffra dans la brèche, toucha le bout de sa langue. Sa respiration s'accéléra. Une main se referma sur son sein, experte, déjà familière. Rompue à la domination, étrangère à la perte de contrôle, Furry tremblait, muette de ravissement, et sentit un ancien et profond désir la submerger, la soulever, l'élancer vers sa brune compagne.
Mords-moi !
Parcourue d'un violent frisson, FUrry referma ses dents sur le doigt s'aventurant dans sa bouche, rouvrit les yeux, les conjuguant à ceux qui s'offraient à elle. Sa main lui passa dans le dos pour se rapprocher d'elle; leurs corps se touchaient, se frôlaient juste par endroits, caresses précises d'une puissance inouïe allant au gré de leurs souffles. Éveillée, vorace, Furry se mordit la lèvre, puis esquissa un sourire.
Chaleur... Douleur... Plaisir... Crispation... Enivrée de ces mille sensations retrouvées, l'inconnue se mit à ronronner. Son corps ondulait lentement, sensuel, contre celui de la jolie blonde, presque immobile sauf par ses soupirs. Ses ongles appuyés dans son dos, elle dessina de fines rayures rouges sur sa peau, rapprochant délicatement les deux femmes. Soudain saisie par la faim, elle dévora du regard un très court instant la lèvre meurtrie de furry-one puis déplaça sa main dans la chevelure dorée et porta ses lèvres jusqu'aux siennes. Par un baiser elle y déposa toute la douceur et l'énergie qu'elle pensait avoir perdues depuis des siècles en se laissant mourir.
Cherchant à lui transmettre cette force pour combler le vide qui l'avait éveillée et attirée jusqu'à elle, elle chercha dans ses souvenirs l'écho du plaisir, le goût de l'envie... Perdues au milieu du sucre envoûtant de sa bouche, les papilles de la féline jouirent soudainement d'un voluptueux mélange tantôt floral, ou animal... capiteux puis épicé... crémeux ou amère. Tremblante, elle saisit ces fragments de mémoire et les renvoya avec violence à la bouillonnante furry : invitation au voyage, violence d'effluves mexicaines, rituels sensuels et mâtinés... L'érotisme latent du chocolat secoua le corps contre elle.
Alors elle recula, interrompit la valse de leurs langues et découvrit satisfaite : les pupilles dilatées de plaisir, un sourire ravivé, les ongles de furry plantés dans la peau de ses reins.
C'est donc cela, ma belle... Tu ne chasses plus...
S'efforçant de soumettre l'impératrice pour réveiller la volcanique prédatrice, elle reçu en retour les questions impétueuses qui flottaient dans sa tête.
Qui es-tu ? Que veux-tu ?
Elle sourit, la défia en poussant fougueusement les épaules de furry, la fit basculer sur le lit et imposa ses égards à ce corps prisonnier de la terne oisiveté de son esprit. Elle susurra alors quelques mots,
réveille-toi... lève-toi... souviens-toi... bats-toi !
Sa voix emplit peu à peu la pièce. Elle attendait d'être à son tour soumise à la volonté de sa distraction, continuant à la faire frissonner.
Furry retenait son souffle. Le corps sur le sien n'avait plus rien d'éthéré; il allait et venait contre sa peau avec une grâce féline, s'appropriait sa chair. Le frottement de leur peau la consumait; les doigts contre sa faille brûlante lui coupèrent le souffle.
Oh, que...!
Furry-one se cambra pour mieux s'offrir aux caresses. La sublime inconnue se pencha sur son corps arqué pour l'embrasser; ses lèvres dévorèrent celles de furry, tournoyant sa langue un bref instant. Une cascade de baisers humides coula vers une pomme de chair à la maturité parfaite. Là, sa bouche explora, remontant lentement ce tendre fruit, puis s'installa en serrant la pointe entre ses lèvres. Au contact électrique de la langue, furry sentit son ventre se crisper et gémit, soupira, gémit encore...
Elle... Mon envie... Si je..., il me faut... Je l'ai su, je le peux à nouveau...
Le souffle court, elle se dégagea de cette étreinte, s'appuya sur ses genoux tremblants et humides pour se redresser, radieuse de détermination, et faire face à l'inconnue... qui ne l'était déjà plus.
- Merci... A moi de te donner raison.
Posant sa main sur la hanche galbée de sa compagne, furry laissa le désir l'envahir, et la volonté couler à flots dans ses veines. Un grognement lui échappa à l'instant où son corps bascula vers l'avant pour chevaucher celui de la femme-féline...
Le corps rejeté en arrière, les pouces sur le visage de sa compagne, elle ondula au rythme de sa respiration, parcourue de frissons. Sa gorge palpitante offerte en sacrifice consentant, elle fit glisser ses mains plus bas, les referma sur sa poitrine, retint sa respiration, se redressa soudain pour regarder le corps sous elle, et se pencha en avant, très lentement, jusqu'à poser sa bouche dans le cou. Là, haletante, elle retroussa ses lèvres, posa ses dents sur la peau luisante et les planta, tendrement, profondément.
Une première morsure, retenue, presque fragile, puis une seconde juste en-dessous, plus intense, aussitôt suivie de petits coups de langue pour absorber un peu de douleur; prenant goût à cette peau aux arômes de miel et de lait, elle la mordilla à nouveau, tout du long, sa passion vorace dessinant tout un archipel de stigmates du haut de la gorge jusqu'entre les seins.
Comblée par l'appétit foudroyant de furry la jolie brune ferma les yeux, frémit de tout son être. Son genou et son pied droit remontèrent délicatement le long des jambes pliées de sa compagne tandis que ses mains plaquaient leurs corps l'un contre l'autre.
Les vagues de désir se mêlèrent bientôt à d'autres tiraillements; une faim non charnelle, une pulsion destructrice, sombre rapace... Surgissant du passé, elle était revenue. Ses yeux quittèrent un instant le corps lascif de sa partenaire.
Les soupirs changèrent peu à peu de bouche, l'audace de furry grandit et s'exprima autant dans ses caresses que dans son sourire et ses yeux. Relevant impérieusement la femme-fauve, elle la poussa près du mur et la hissa sur l'étagère dorée où elle laissait négligemment traîner tous les outils de ses plaisirs nocturnes. Fixant ses yeux brillants dans les siens, elle fit voler la majeure partie de ces objets pour passer ses doigts entre le mur et la peau humide qu'elle effleura. Sur la pointe des pieds, elle embrassa passionnément chaque centimètre de peau qu'elle put trouver, l'amena peu à peu à poser sa tête contre le velours rouge sombre brodé d'or couvrant la cloison et arrêta sa main gauche sur sa nuque.
Saisissant fermement le cou de sa proie, elle enclencha l'un de ses gadgets favoris avec la main droite. Le bord de l'étagère se détacha du reste, remontant à première vue mystiquement vers le plafond, emportant les genoux délicats... Furry-one plaqua sa poitrine contre les jambes pour l'aider à basculer en douceur. Transportée par le désir, la créature n'opposa pas de résistance et se retrouva rapidement tête en bas, prisonnière, silencieuse... La blonde sourit, caressa un instant la courbe galbée de ses fesses puis joua de ses doigts sur la petite commande du trapèze magnétique pour replacer leur visage face à face et lui sourire.
- Intéressant... astucieux... *Ravageur, même...
- Alors, ma chérie... Vas-tu enfin me dire ton nom ?
- Embrasse-moi.
- Tu n'auras rien de plus de moi sans cette réponse, ma belle.
- Habituée à voir tes caprices s'exaucer, hmm ?
- Non, quand on me dit non je demande davantage. Ton nom, ma chérie, et ta main posée sur moi, juste ici.
La femme posa sa main sur le ventre de l'impératrice et commença à y dessiner les courbes d'une lettre. Du bout de l'index, partant du nombril, elle remonta, forma une boucle allongée, repassa sur le nombril et créa une nouvelle boucle rejoignant le point de départ. Replaçant ensuite son index dans le nombril frémissant de furry, elle caressa son contour puis descendit un peu pour ajouter un petit arc sous le cercle, avant de compléter d'un accent, quelques centimètres au-dessus du joli orifice de naissance. Puis elle descendit sa main sur sa cuisse et caressa en souriant.
- Hum... Io...?
- Oui, cela commence ainsi. Embrasse-moi.
Amusée, Furry approcha ses lèvres du visage de la "Io", déposa un baiser fugace sur sa bouche frissonnante de désir, s'en vint mordiller son oreille gauche, fit le tour jusqu'au lobe qu'elle suçota malicieusement, puis recula et reprit la pose, les poings sur les hanches.
- Eh bien ?
- Je t'espérais plus perspicace...
Remontant sur l'abdomen ferme, elle reprit ses dessins, formant une nouvelle courbe allongée vers le haut, puis enchaina avec le tracé d'un Y. Passant sa main dans le dos de furry, elle l'amena contre elle pour embrasser et goûter délicatement la peau qu'elle venait d'effleurer.
Les yeux clos, concentrée sur l'enivrant murmure de ces doigts merveilleux d'agilité, furry-one soupira, descendit ses mains sous les genoux puis le long des cuisses s'offrant à elle.
La brune soupira sous les caresses, lâcha le bas du dos qu'elle serrait contre elle et replaça ses doigts sur son ventre pour y finir l'écriture de son nom. Elle guettait l'occasion de pouvoir relever quelques instants la tête, le plaisir et l'ivresse du moment ne suffisaient pas à occulter l'étourdissement lancinant qui grandissait peu à peu. Elle accompagna le dernier mouvement de son index par un chuchotement.
- Mon nom était Iota, ma belle. Dame des ténèbres, reine universelle, c'était il y a bien longtemps ...
- Iota... Iota... Cela te va bien, ma chérie. C'est tout ce que j'avais besoin de savoir. Reprenons...
Furry prit dans ses mains la tête couronnée de cheveux bruns, la releva un peu pour l'embrasser à l'envers, passa sa langue sur la lèvre supérieure offerte à elle. Puis elle prit délicatement les mains de sa complice, les posa sur elle, puis promena son index du nombril jusqu'à sa gorge, repoussant doucement sa tête vers le bas. Dominant de toute sa taille le corps renversé de sa partenaire, elle se pencha lentement sur elle et vint goûter à la chaleur des cuisses de Iota......
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Un bruit sourd et lourd retenti… un cube holographique sortie du centre de la pièce.
.....
Votre Altesse, votre bain moussant est chaud, vous pourrez le prendre quand bon vous semble. Si vous désirez déguster quelque chose, votre repas est dans la salle de réception. M.yoRat, Terminé.
FUrry contemplât le cube jusqu'à sa disparition avant reprendre ses ébats, mais un froid glacial s’empara d’elle, un nuage de poussière flottait autour d’elle, des frissons lui remontèrent jusqu’à dans la nuque.
Rien, la divine créature avait disparue aussi vite qu’elle n’eut apparut dans cette étrange brume.
Etait-ce un rêve ? Une hallucination dû à l’alcool ? Un fantôme errant dans cet espace infiniment vaste et frigide ?….
Une larme coula lentement le long de sa joue encore humide de sueur, une profonde tristesse envahie l’ex-impératrice. Elle s’allongea avec délicatesse sur le lit, ferma les yeux, avant de s’assoupir, repensant à chaque scène de son aventure mystique, espérant de pouvoir revivre cet étrange phénomène sensationnel un jours...
caillou- Messages : 174
Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 33
Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 12:41
Confortablement installé dans son fauteuil, au commande de son immense flotte imperiale , Caillou contemplé l’univers , zone 54… du moins, ce qu’il en resté. D’énorme bataille avait fait rage dans cette zone, beaucoup pour un simple conflit de routine, certain pour éradiquer totalement de la zone des trafiquants de matière première, et d’autre pour pouvoir régner sur une superficie bien plus grande. Beaucoup de raiders avaient tenté d’assiéger l’empire du commandant, tous s’y sont briser les dents.
En commençant par g3g3, valeureux combattant, mais le pouvoir lui avait fait perdre la raison, tentant en vain de manger du caillou …perte de 238M d’unités pour g3g3
Il s’en suivie de mayeronne, un raider dans l’ombre, frappant toujours ses cibles dans le dos … malheureusement pour lui, être dans l’ombre ne veux pas dire que l’ont est à l’abri de tout. Perte de 640M d’unités pour mayeronne. Ce fus au tour de vander, un marchant qui escroquait l’univers depuis des lustres, et un pilleur d’exception. Mais le pillage n’avait pas sa place dans la zone 54, Perte de 400M. Le dernier en liste fus kaimetsu, le plus grand raider, arrogant, de tout les temps… plus de 2 mois à s’échanger des coup de feu , jusqu’au jours ou kaimetsu fit l’erreur de ne pas surveiller sa base spatiale. L’explosion ne se fit pas attendre, les 1milliard 500 millions d’unités volaient jusqu’aux confins de l’univers.
Depuis, cela faisait plus de 8 décennies que le Maitre et son empire cherchait, en vain, une communauté à part, totalement détaché du secteur 54. Cependant, beaucoup d’histoire sur cette structure, quel qu’elle soie , avait été conté. Certain disait que pour pouvoir trouver la voix de l'Anti-rat, il fallait être choisie, d’autre parlaient d’écho, de chant de déesse.
Commandant, nos systèmes ont relevé une forte augmentation d’onde sonore,nos techniciens sont deja en train d'identifier le message,.... ....la superstructure « GF » viens également de refaire surface, et nous on laissé un message.
La GF ?? Mais on les croyait tous mort dû à une
explosion interne de leurs systèmes !
D’après leurs messages, certains ont survécu, et ..
Affiché moi le message Capitaine !
A vos ordres :
Commandant, nos sondes ont relevé un important pic de flux sonore en direction de notre zone et une intrusion de fichier dans les systèmes...... ...l' informatique ne réponds plus... intrusion d'un module cripté dans la base de donnée informatique...mon Commandant... l'appel des dératiseurs raisonne dans l'univers... message parasité... mais c'est bien les Anti-rat, le mythe reprend vie ...
Les Anti-rat? ? vous avez des précisions sur le message ??
message traduit et mis en forme
Mais commandant, et si c'était un piège ??
Et bien nous ferons ce que nous avons toujours fait ! A savoir, je ne me souviens pas que l'on est perdu une seule guerre.... durée du trajet ?
...1565 heures mon Commandant....
Traduction !
2 mois , si tout ce passe comme prévu... nos moteurs n'ont pas tourné depuis un bout de temps et je doute que ...
Foutaise capitaine, nos vaisseaux sont en états de faire une 6em guerres spatiales. Réveillé l'équipage de leur sommeil cryogénique , nous allons avoir besoin de tout nos hommes . Envoyé egalement un message crypté au coordonnée A-R, dites leurs que l'on arrivera pour l'heure de l'apéro dans 2 mois.
A vos ordres mon Commandant !
ha, une dernière chose capitaine, mettez vous sur votre 31 lorsque nous arriverons à destination, vous allez devoir avoir à faire a la plus belle créature de tout univers confondu.
Cette créature a un nom?
Elle se nomme iota, déesse des dératiseurs Je vous demanderai un respect exemplaire et une tenue irréprochable. Je ne veux plus la perdre. Nous avons combattu cote à cote sur gemini et elle avait été choisie pour rejoindre les rangs des dératiseurs[/i], je n'y croyais absolument pas...cela fait si longtemps...j'espère que nous seront à la hauteur de leurs espérances...
En commençant par g3g3, valeureux combattant, mais le pouvoir lui avait fait perdre la raison, tentant en vain de manger du caillou …perte de 238M d’unités pour g3g3
Il s’en suivie de mayeronne, un raider dans l’ombre, frappant toujours ses cibles dans le dos … malheureusement pour lui, être dans l’ombre ne veux pas dire que l’ont est à l’abri de tout. Perte de 640M d’unités pour mayeronne. Ce fus au tour de vander, un marchant qui escroquait l’univers depuis des lustres, et un pilleur d’exception. Mais le pillage n’avait pas sa place dans la zone 54, Perte de 400M. Le dernier en liste fus kaimetsu, le plus grand raider, arrogant, de tout les temps… plus de 2 mois à s’échanger des coup de feu , jusqu’au jours ou kaimetsu fit l’erreur de ne pas surveiller sa base spatiale. L’explosion ne se fit pas attendre, les 1milliard 500 millions d’unités volaient jusqu’aux confins de l’univers.
Depuis, cela faisait plus de 8 décennies que le Maitre et son empire cherchait, en vain, une communauté à part, totalement détaché du secteur 54. Cependant, beaucoup d’histoire sur cette structure, quel qu’elle soie , avait été conté. Certain disait que pour pouvoir trouver la voix de l'Anti-rat, il fallait être choisie, d’autre parlaient d’écho, de chant de déesse.
Commandant, nos systèmes ont relevé une forte augmentation d’onde sonore,nos techniciens sont deja en train d'identifier le message,.... ....la superstructure « GF » viens également de refaire surface, et nous on laissé un message.
La GF ?? Mais on les croyait tous mort dû à une
explosion interne de leurs systèmes !
D’après leurs messages, certains ont survécu, et ..
Affiché moi le message Capitaine !
A vos ordres :
0000 heures, nouvelle ères, (Calendrier Superstructure GF/ Transmission à bande etroite point a point: origne INCONNUE; réception neutre
Transmission Prioritaire PNLB XX087R-XX
Code de cryptage : Beta
DE : Nom DE CODE : Superstructure
A : NOM DE CODE : OGAMEUR
Objet : RAPPORT SUR L'ACHÈVEMENT DE LA FUSION D'UNIVERS
/extraction-reconstitution du fichier achevée/début de fichier/
Cher ami, la superstructure GF a subit de lourde pertes, autant humaines que matérielles. Notre maitrise de la fusion d'atomes n'étaient pas stable , une déchirure plasmique avait provoqué une explosion et provoqué la destruction complète de nos recherches. Cependant, au bout de plusieurs décennies nous avons enfin réussit à maitriser la fusion, nous pouvons actuellement modelé les univers. La GF vous propose de réunir tout les empires existant à se rejoindre sur un seul et même espace. La sécurité est optimale , la chance de démembrement d'une partie de votre empire lors du saut d'univers est quasi-nulle. Nos techniciens, chercheur et développeur ont testé et approuvé la mise en place de cet technologie nouvelle.
Voici les coordonnées de précision du lieu de destination
P3R5X-VV795-XX
Transmission Prioritaire PNLB XX087R-XX
Code de cryptage : Beta
DE : Nom DE CODE : Superstructure
A : NOM DE CODE : OGAMEUR
Objet : RAPPORT SUR L'ACHÈVEMENT DE LA FUSION D'UNIVERS
/extraction-reconstitution du fichier achevée/début de fichier/
Cher ami, la superstructure GF a subit de lourde pertes, autant humaines que matérielles. Notre maitrise de la fusion d'atomes n'étaient pas stable , une déchirure plasmique avait provoqué une explosion et provoqué la destruction complète de nos recherches. Cependant, au bout de plusieurs décennies nous avons enfin réussit à maitriser la fusion, nous pouvons actuellement modelé les univers. La GF vous propose de réunir tout les empires existant à se rejoindre sur un seul et même espace. La sécurité est optimale , la chance de démembrement d'une partie de votre empire lors du saut d'univers est quasi-nulle. Nos techniciens, chercheur et développeur ont testé et approuvé la mise en place de cet technologie nouvelle.
Voici les coordonnées de précision du lieu de destination
P3R5X-VV795-XX
Transmission GF, terminé
Commandant, nos sondes ont relevé un important pic de flux sonore en direction de notre zone et une intrusion de fichier dans les systèmes...... ...l' informatique ne réponds plus... intrusion d'un module cripté dans la base de donnée informatique...mon Commandant... l'appel des dératiseurs raisonne dans l'univers... message parasité... mais c'est bien les Anti-rat, le mythe reprend vie ...
Les Anti-rat? ? vous avez des précisions sur le message ??
message traduit et mis en forme
coordonné P3R5X-VV795-A-R-section-1
Les dératiseurs appelle ses futurs camarades pour repousser les assaillants venu des 4 coins de l'univers , le combat pour la gloire est proche, nous extermineront tout etre vivant !
La légende était vrai ... faite chauffer les moteurs, nous décollerons dans H-1 Les dératiseurs appelle ses futurs camarades pour repousser les assaillants venu des 4 coins de l'univers , le combat pour la gloire est proche, nous extermineront tout etre vivant !
Mais commandant, et si c'était un piège ??
Et bien nous ferons ce que nous avons toujours fait ! A savoir, je ne me souviens pas que l'on est perdu une seule guerre.... durée du trajet ?
...1565 heures mon Commandant....
Traduction !
2 mois , si tout ce passe comme prévu... nos moteurs n'ont pas tourné depuis un bout de temps et je doute que ...
Foutaise capitaine, nos vaisseaux sont en états de faire une 6em guerres spatiales. Réveillé l'équipage de leur sommeil cryogénique , nous allons avoir besoin de tout nos hommes . Envoyé egalement un message crypté au coordonnée A-R, dites leurs que l'on arrivera pour l'heure de l'apéro dans 2 mois.
A vos ordres mon Commandant !
ha, une dernière chose capitaine, mettez vous sur votre 31 lorsque nous arriverons à destination, vous allez devoir avoir à faire a la plus belle créature de tout univers confondu.
Cette créature a un nom?
Elle se nomme iota, déesse des dératiseurs Je vous demanderai un respect exemplaire et une tenue irréprochable. Je ne veux plus la perdre. Nous avons combattu cote à cote sur gemini et elle avait été choisie pour rejoindre les rangs des dératiseurs[/i], je n'y croyais absolument pas...cela fait si longtemps...j'espère que nous seront à la hauteur de leurs espérances...
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Re: CAILLOU's RP
par iota Mer 27 Avr - 13:19
merci ma caillasse ...... 
..enfin heureuse de pas me nommée steph XD ....c'est moins jubilatoire
iota- Messages : 1578
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Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 13:29
c'est la femme d'un pote du 54 XD
mais le prochain RP que j'écrirais te concernera une nouvelle fois
tu joues tellement bien faut dire...
mais le prochain RP que j'écrirais te concernera une nouvelle fois
tu joues tellement bien faut dire...
caillou- Messages : 174
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Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 15:59
xD
je suis pas litteraire
mais quand j'ai le gout
j'ecris des pavés
je suis pas litteraire
mais quand j'ai le gout
j'ecris des pavés
caillou- Messages : 174
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Re: CAILLOU's RP
par Invité Mer 27 Avr - 16:16
oui on a remarquer je suis arriver au 2 eme paragrphe du 2 eme RP
mais c est long tres long
mais c est long tres long
Invité- Invité
Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 16:24
Mon préféré c'est le premier, avec le retournement de situation a la fin
le second est plus hérotique
iota joue super bien XD
le second est plus hérotique
iota joue super bien XD
caillou- Messages : 174
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Re: CAILLOU's RP
par Invité Mer 27 Avr - 16:28
elle a une personnaliter qui va avec son role XD moi j aimerai bien jouer dans le prochain ce serait cool ^^
Invité- Invité
Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 16:29
boo1500 a écrit:elle a une personnaliter qui va avec son role XD moi j aimerai bien jouer dans le prochain ce serait cool ^^
je verrai ce que je peux faire
je pense ecrire un RP sur l'alliance
mais je passerai pas 5 jours de boulot comme pour mon second RP
garantie XD
caillou- Messages : 174
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Re: CAILLOU's RP
par iota Mer 27 Avr - 18:02
tu es très doué !!!j'aime moins le premier mais j'avoue que c'est bien écrit ....
j'endure de voir le rp collectif qui peut etre sera notre devise ^^ ..
c'est ce que j'aime j'ai toi ....aussi grossier que délicat ^^ ...mais je préfère de loins le personnage dans toute sa finesse
j'endure de voir le rp collectif qui peut etre sera notre devise ^^
..c'est ce que j'aime j'ai toi ....aussi grossier que délicat ^^ ...mais je préfère de loins le personnage dans toute sa finesse
iota- Messages : 1578
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Re: CAILLOU's RP
par caillou Mer 27 Avr - 18:19
ça me flatte ^^iota a écrit:tu es très doué !!!j'aime moins le premier mais j'avoue que c'est bien écrit ....
j'endure de voir le rp collectif qui peut etre sera notre devise ^^
c'est ce que j'aime j'ai toi ....aussi grossier que délicat ^^ ...mais je préfère de loins le personnage dans toute sa finesse
merci
grossier que delicat...
ma grand mere m'a toujours dit:
les gros mots comme les petis font partie de la langue française, il faut les utiliser a bon escient
Quand j'etais petit, je comprenais que dalle a ce qu'elle disait, mais maitenant je comprends mieux XD
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Re: CAILLOU's RP
par caillou Dim 17 Juil - 15:09
RP fait par mes soins il y a quelques jours ....
l'inspiration etait au rendez-vous:
ce RP se situe avant le RP " un rêve , une envie", j'ai voulu faire une suite a ce RP , mais j'ai préféré faire une sorte de retour au source...
Et je sais que ma iota de mon coeur aime mes RP...
je n'ai pas corrigé tout les fautes d'ortographe...
Votre Altesse ?
Nemesis avance timidement dans l'obscurité et la puan... l'odeur ignob... entêtante. On va dire ça comme ça. Il a reçu des consignes claires pour ne venir troubler la quiétude pesante des occupants de cet endroit qu'en de graves circonstances, mais à vrai dire, l'odeur est plus dissuasive que les ordres de sa chef. A tel point que les ingénieurs de la Navette ont rajouté un sas de décontamination à l'entrée de cette zone pour éviter toute propagation nauséabonde.
La lumière se raréfie à mesure qu'il progresse, mais Némésis n'est pas dupe: il ne fait pas réellement sombre dans ce lieu. Son cerveau est simplement trop occupé à neutraliser l'impact neuro-électrique des effluves titanesques pour avoir de l'énergie à consacrer à ses nerfs optiques. Il met prudemment un pied devant l'autre, la nuque crispée par crainte de marcher dans une immondice; il évite soigneusement d'appuyer ses mains sur les murs: ses gants de kevlar lui semblent bien insuffisants pour le protéger.
En amiral prévoyant et précautionneux, il a mémorisé au centimètre près les plans de cette zone avant de s'y rendre; il sait donc qu'il approche enfin du but. De légers chuchotements lui parviennent, accompagnés de ricanement complice.
- Cambre-toi légèrement ! J’y suis presque !
- ... …. …….
- passe ta jambe au dessus de mes hanches !
- A vos ordres altesse
Contraint au silence, Némesis réalise soudain que la pénombre était quasi-totale. En fait, songe-t-il avec effroi, il aperçoit 2 silhouettes dans la pénombre ... Alice à quatre pattes par terre, sur un épais tapis de couleurs….... Elle lui tourne le dos, manifestement peu vêtue.
- Voilààà, continue ma belle ... Tu es si élégante ...
- Nan mais je rêve dites-moi que je rêve elle n’a pas pu se donner à une …femme de l’équipage !
- ... bébés...
- *What the !# ? elle n’a pu cacher sa libido a moi, son fidèle Amiral! C’est impossible, réveillez-moi bon sang réveillez-moiiii
- lève légèrement tes fesses, que je puisse atteindre le …
-Vous êtes si douée votre Altesse... Continuez....
- hums si seulement je pouvais m’approcher de quelques mètres, j’aurais un spectacle inouï !
- A ton tour...... déplace…. ta main vers la gauche… comme ça...oui... …..
- Comme ceci maitresse ?
- Excellent
Prenant son courage à 2 mains, Némésis décide d’avancer dans la pénombre, se fichant de se qui pouvait lui arriver s’il se faisait prendre. Quelques pats à gauche, évitant un objet , legerement courbé, rose, une autre enjambé, évitant le tat d’ordure entasser par ci par là, un dernier pat sur la gauche, à 1 mètre derrière le cube holographique de la pièce et des dixaines d’objet insolite rependu sur le sol.
- Moins fort belle ange ! L’équipage dort ! Je ne voudrais pas que les gardes à l'extérieur nous entendent …
- Veuillez m’excuser … mais je dois vous avouez… c’est très … décontractant
- Reprenons, veux-tu !
- Je suis à la distance idéale … mais cette étrange lumière bleue m’intrigue ,il faudrait que je puisse …
Dans un élan de frénésie et d’excitation, Nemesis frôle le cube holographique…
Une lumière étincelante jaillit du cube , dévoilant les moindres recoins de la pièce …
Alice, à quatre patte sur un tapis, twister, orné de symbole et de couleur en 3 dimensions,, vêtu en petite tenu au dessus d’une I.A fabriquée au portrait de cette dernière, sursauta , pianota sur un petit boitier numérique qui fis disparaitre aussitôt la silhouette bleutée …
- Amiral Nemesis, que faites vous ici, sans même avoir demandé la permission d’entrer, vous m’espionnez dans des quartiers ! La peine capitale sera appliquée l’aube !
- Non, non, je vous en supplie votre altesse, je suis venu dans l’intention de vous prévenir que nous allons recevoir la visite d’un pillard , sans foie ni loie … une sorte de mercenaire a son propre compte... il ce dit pouvoir nous exterminer pour préserver son avenir...
- Ben voyons ! Et mes fesses, c'est du poulet ? Bon sang, Nemesis, allez faire vos blagues ailleurs...
- Altesse, je vous jure que c'est vrai !
- Dites moi , vous avez aperçut quoi exactement ? Et depuis combien de temps étiez-vous là ?
- Depuis quelques minutes votre altesse, je n’ai pas fait de bruit croyant que vous dormiez, je ne voulais pas vous réveillez en sursaut. Mais je n’ai rien pue voir, d’ailleurs, je ne voie rien et je ne verrais rien et je ne sais pas ce qu’il s’est passé …
- Vous avez passé l'âge des blagues carambar, vous ne croyez pas ? Vous avez passé l'âge tout court, en fait... allez me chercher mon jouer fétiche derrière vous. Allez, allez, traînez pas ! Je pourrais vous gracié pour cette fois … cependant … il va falloir vous racheter … cela va vous couter cher …
- Je ferais tout ce que vous voudrais altesse.
- Donner l’ordre à l’équipage d’exterminer votre « Mercenaire » dès qu’il est en ligne de mire. L’avenir c’est moi et personne d’autre !
Revenez ici, dans 1h exactement, si vous ne voulez pas finir démembrer pour votre insubordination… j’ai envie de satisfaire mes envie … j’ai créé une machine à désir… il me faut là tester… vous serez mon cobaye …
- Heu... à vos ordres altesse… puis-je savoir comment fonctionne-t-elle ? …
- Je pense, elle agit … maintenant dehors ! Il ne vous reste plus que 59 minutes et 37 secondes !
- Oui altesse, vos désirs sont des ordres …
- Et votre malheur, je peux vous l’assurer …
l'inspiration etait au rendez-vous:
ce RP se situe avant le RP " un rêve , une envie", j'ai voulu faire une suite a ce RP , mais j'ai préféré faire une sorte de retour au source...
Et je sais que ma iota de mon coeur aime mes RP...
je n'ai pas corrigé tout les fautes d'ortographe...
Votre Altesse ?
Nemesis avance timidement dans l'obscurité et la puan... l'odeur ignob... entêtante. On va dire ça comme ça. Il a reçu des consignes claires pour ne venir troubler la quiétude pesante des occupants de cet endroit qu'en de graves circonstances, mais à vrai dire, l'odeur est plus dissuasive que les ordres de sa chef. A tel point que les ingénieurs de la Navette ont rajouté un sas de décontamination à l'entrée de cette zone pour éviter toute propagation nauséabonde.
La lumière se raréfie à mesure qu'il progresse, mais Némésis n'est pas dupe: il ne fait pas réellement sombre dans ce lieu. Son cerveau est simplement trop occupé à neutraliser l'impact neuro-électrique des effluves titanesques pour avoir de l'énergie à consacrer à ses nerfs optiques. Il met prudemment un pied devant l'autre, la nuque crispée par crainte de marcher dans une immondice; il évite soigneusement d'appuyer ses mains sur les murs: ses gants de kevlar lui semblent bien insuffisants pour le protéger.
En amiral prévoyant et précautionneux, il a mémorisé au centimètre près les plans de cette zone avant de s'y rendre; il sait donc qu'il approche enfin du but. De légers chuchotements lui parviennent, accompagnés de ricanement complice.
- Cambre-toi légèrement ! J’y suis presque !
- ... …. …….
- passe ta jambe au dessus de mes hanches !
- A vos ordres altesse
Contraint au silence, Némesis réalise soudain que la pénombre était quasi-totale. En fait, songe-t-il avec effroi, il aperçoit 2 silhouettes dans la pénombre ... Alice à quatre pattes par terre, sur un épais tapis de couleurs….... Elle lui tourne le dos, manifestement peu vêtue.
- Voilààà, continue ma belle ... Tu es si élégante ...
- Nan mais je rêve dites-moi que je rêve elle n’a pas pu se donner à une …femme de l’équipage !
- ... bébés...
- *What the !# ? elle n’a pu cacher sa libido a moi, son fidèle Amiral! C’est impossible, réveillez-moi bon sang réveillez-moiiii
- lève légèrement tes fesses, que je puisse atteindre le …
-Vous êtes si douée votre Altesse... Continuez....
- hums si seulement je pouvais m’approcher de quelques mètres, j’aurais un spectacle inouï !
- A ton tour...... déplace…. ta main vers la gauche… comme ça...oui... …..
- Comme ceci maitresse ?
- Excellent
Prenant son courage à 2 mains, Némésis décide d’avancer dans la pénombre, se fichant de se qui pouvait lui arriver s’il se faisait prendre. Quelques pats à gauche, évitant un objet , legerement courbé, rose, une autre enjambé, évitant le tat d’ordure entasser par ci par là, un dernier pat sur la gauche, à 1 mètre derrière le cube holographique de la pièce et des dixaines d’objet insolite rependu sur le sol.
- Moins fort belle ange ! L’équipage dort ! Je ne voudrais pas que les gardes à l'extérieur nous entendent …
- Veuillez m’excuser … mais je dois vous avouez… c’est très … décontractant
- Reprenons, veux-tu !
- Je suis à la distance idéale … mais cette étrange lumière bleue m’intrigue ,il faudrait que je puisse …
Dans un élan de frénésie et d’excitation, Nemesis frôle le cube holographique…
Une lumière étincelante jaillit du cube , dévoilant les moindres recoins de la pièce …
Alice, à quatre patte sur un tapis, twister, orné de symbole et de couleur en 3 dimensions,, vêtu en petite tenu au dessus d’une I.A fabriquée au portrait de cette dernière, sursauta , pianota sur un petit boitier numérique qui fis disparaitre aussitôt la silhouette bleutée …
- Amiral Nemesis, que faites vous ici, sans même avoir demandé la permission d’entrer, vous m’espionnez dans des quartiers ! La peine capitale sera appliquée l’aube !
- Non, non, je vous en supplie votre altesse, je suis venu dans l’intention de vous prévenir que nous allons recevoir la visite d’un pillard , sans foie ni loie … une sorte de mercenaire a son propre compte... il ce dit pouvoir nous exterminer pour préserver son avenir...
- Ben voyons ! Et mes fesses, c'est du poulet ? Bon sang, Nemesis, allez faire vos blagues ailleurs...
- Altesse, je vous jure que c'est vrai !
- Dites moi , vous avez aperçut quoi exactement ? Et depuis combien de temps étiez-vous là ?
- Depuis quelques minutes votre altesse, je n’ai pas fait de bruit croyant que vous dormiez, je ne voulais pas vous réveillez en sursaut. Mais je n’ai rien pue voir, d’ailleurs, je ne voie rien et je ne verrais rien et je ne sais pas ce qu’il s’est passé …
- Vous avez passé l'âge des blagues carambar, vous ne croyez pas ? Vous avez passé l'âge tout court, en fait... allez me chercher mon jouer fétiche derrière vous. Allez, allez, traînez pas ! Je pourrais vous gracié pour cette fois … cependant … il va falloir vous racheter … cela va vous couter cher …
- Je ferais tout ce que vous voudrais altesse.
- Donner l’ordre à l’équipage d’exterminer votre « Mercenaire » dès qu’il est en ligne de mire. L’avenir c’est moi et personne d’autre !
Revenez ici, dans 1h exactement, si vous ne voulez pas finir démembrer pour votre insubordination… j’ai envie de satisfaire mes envie … j’ai créé une machine à désir… il me faut là tester… vous serez mon cobaye …
- Heu... à vos ordres altesse… puis-je savoir comment fonctionne-t-elle ? …
- Je pense, elle agit … maintenant dehors ! Il ne vous reste plus que 59 minutes et 37 secondes !
- Oui altesse, vos désirs sont des ordres …
- Et votre malheur, je peux vous l’assurer …
caillou- Messages : 174
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Re: CAILLOU's RP
par iota Dim 17 Juil - 22:19
...merci ...est ce en prévision d'un hof sur le 18 avec némésis
..je suis sur que chokkan va apprécier ce rp sensuel
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Re: CAILLOU's RP
par caillou Lun 18 Juil - 15:39
iota a écrit:
merci ...est ce en prévision d'un hof sur le 18 avec némésis
je suis sur que chokkan va apprécier ce rp sensuel
nop, pas de RP
j'ai stopper tout les uni
sauf le 54, et je suis en mode mineur pur labas ^^
pas le temps de raider
6h/18h les horaires de taff
...
chaud chaud le taff ^^
meme pas le temps de lancer mes mines
caillou- Messages : 174
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Re: CAILLOU's RP
par caillou Lun 3 Oct - 8:27
RP fait par mes soins pour le remodelage de notre alliance du 54...
Journal de Bord
Code de cryptage: XVIXXX-C.300
Commandant de la C-300
Navire 2359
Heure: 1512/PM
Encore une journée monotone, rien à perte de vue, le néant, aucune trace du "mythe", nous ne désespérons pas, nous continuons les recherches. Le dernier signal du navire 2400 émettait depuis cette position... nous ne tarderons pas à trouver quelque chose.
Heure: 1637/AM
Ce matin nos capteurs sonores nous ont réveillé à l'aurore. Le chant de la lorelei que nous cherchions depuis plus d'un millénaire vient enfin de résonner... Nous nous dirigeons vers les coordonnées fifty-four au centre de la galaxie.... espérons que l'on y trouve quelque chose.
Heure: 1661/PM
Nous sommes proche de la source, nous entendons tous le chant de la nixe, mais ce chant nous envoute petit à petit, et certains hommes, les plus fragiles, se sont déjà suicidés ... le doute commence à envahir l'équipage. Quelques matelots se content des légendes sur "la lorelei". Quiconque rencontre cette divinité finis par devenir comme elle...Une minute de silence a été commémoré en leurs mémoires.
heure: 1685/PM
Encore une nuit mouvementée. Après le souper, un matelots crier voir "la lorelei" a tribord... il supposait entendre sa voix si douce lui demander de là rejoindre. Il est devenu incontrôlable et a tenté de se jeter du navire. Nous l'avons enfermé dans le sous sol du navire... espérons que sa folie lui passe.
heure: 1689/AM
4h après avoir enfermé le moussaillon, nous avons entendu des cries perçants ... le temps d'arriver au sous-sol, il était déjà trop tard... une mare de sang se répandait dans toute la cale, son corps avait été mutilé, et perforé de part en part sur tout ses membres, sans trouver la moindre trace d'un objet quelconque.... le suicide n'est pas envisageable.
Certains marins superstitieux se sont pendus dans leurs dortoirs quelques minutes après le drame. Nos effectifs se réduisent à vue d'oeil... il nous faut faire vite.
Des gémissements féminins, cela me faisait plus penser à des cries machiavélique plutôt qu'à des rêves érotiques . J'avais l'impression d'être dominé, et mené par le bout du nez, dans l'aspect de prise de possession de mon esprit, de façon comparable à un envoutement par magie sexuelle. Une forme féminine dansait au-dessus de mon lit, à moitié vêtue, rayonnante,envoutante, un visage d'ange, des yeux bleus océan, de longs cheveux châtains recouvrant ses épaules, qui alternait petits rires amusés et gémissements sensuels.
Une hallucination ?
Que nenni, je réussis à apercevoir du coin de l'œil la pendule coucou accrochée au mur de la pièce. Heure 1690
Mon dernier message du journal de bord remontait à 1h...
La fenêtre de la pièce me permettait d'ausculter tout mouvement du pont...
Des centaines de ces formes vacillaient sur le pont, tout l'équipage était sortie de son sommeil, et observait ce phénomène.
Un hurlement extrêmement prononcé, exprimant de la colère, une fureur extrême , perçât le calme qui régnait. Ces cris montaient dans les aigus, mélangeant une voix humaine et bruit de machine.
Paralysé dans mon lit, ne pouvant prononcer aucun mot, l'aura féminine fit apparaitre un début de formule mathématique algébrique, sans fioriture. La partie lisible était en surbrillance, la suite grisée, se chevauchant continuellement.
Quelques secondes plus tard je commençais à avoir des fourmis dans les jambes, la tête brulante, l'extrémité de mes membres gelés,mes muscles se relâchaient lentement. Je me sentais si léger. Trop léger. Je tanguais au-dessus de mon corps , ne pouvant ni le toucher, ni le sentir, je sentais la mort arriver.
Je n'étais pas le seul dans ce même cas, l'équipage avait subi le même sort, mais , troublant, je voyais également leurs âmes flotter au-dessus de leurs cadavres inertent et froid.
Les femmes lumineuses se mirent à chanter , tournoyant au-dessus du pont. Leur chant était si pur, si beau. Plusieurs minutes passèrent ainsi. Plus le chant s'amplifiait plus les lumières devenaient folles. Certaines attrapaient les corps des marins et les jetaient par-dessus bord. D'autres dévoraient certaines parties, comme la cervelle, les yeux ou la langue.
La nuit passa ainsi jusqu'au petit matin.
Il ne restait rien de nos corps mis a part quelques petits morceaux de chair par ci par là, quelques doigts jonchés le sol.Les femmes blanches avaient quitté le navire après avoir fini de me dévorer dans la cabine et saccager le vaisseau.
Nous avions trouvé ce que nous cherchions, à notre perte. Nous voulions capturer l'insaisissable. A présent nous sommes devenus ces créatures à la voix douce et aux dents de sabre. Il est temps de mettre un terme à mon journal. Le début d'une seconde vie commence.
Journal de Bord
Code de cryptage: 0
Commandant de ""la Lorelei""
Navire 2359
Heure: 1699/AM
Nous avons était attaqué par la nixe, ou plutôt, les NIXES, elles étaient une centaine
Nous n'avons rien pu faire. Elles nous ont dévorés avant de quitter le navire...
Quiconque trouve ce journal de bord est averti...
Commandant
Terminé.
Dernière édition par caillou le Mar 4 Oct - 8:47, édité 1 fois
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